« Nous n’avons que du 87 octanes [sic]. La crise des moteurs n’est qu’une crise des combustibles, entend on dire. Donnez-nous de la bonne essence et vous aurez de bons moteurs », pouvait-on lire dans Les Ailes du 29 Septembre 1938, tandis qu’un article de Flight, en janvier 1944, rapportait cette déclaration d’un parlementaire anglais interviewé aux États-Unis : « Je pense que nous n’aurions pas gagné la Bataille d’Angleterre sans le 100 octane- mais nous avions le 100 octane»[1].
L’essence à indice 100 d’octane: atout décisif outre-Manche, avantage manquant en France ?
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