Le 2 septembre 1937, l’éditorial de Georges Houard, dans le journal Les Ailes s’ouvrait sur ces mots:
« A quelque chose, malheur est bon, dit un proverbe. Si ce proverbe est vrai, nous pouvons espérer une conséquence heureuse de la défaite française dans la course Istres-Damas : c’est, en ayant enfin ouvert les yeux à l’opinion publique sur la situation de notre aviation, de provoquer le redressement qui s’impose » écrivait le directeur du journal de référence de l’aviation française[1].